À cet égard, je dis avec force que l'actuelle majorité ne saurait être tenue pour responsable des quarante années passées de défaillances collectives, et que le devoir d'honnêteté aurait dû conduire ceux qui ont déposé la motion de censure à le dire plus clairement.
La motion de censure, dont nous savons qu'elle ne sera pas adoptée, soulève une autre question fondamentale : quelle est son utilité pour la vie quotidienne des Français ?