alors que vous auriez dû davantage soutenir nos savoir-faire, qu'ils soient industriels, agricoles ou artisanaux.
Oui, depuis dix-huit mois, vous avez opposé l'arrogance et le mépris du nouveau monde à la désespérance des Français. Mais, monsieur le Premier ministre, il n'y a pas de gens qui ne sont rien ; il y a seulement le peuple « orphelin, pauvre, intelligent et fort, placé très bas et aspirant très haut », comme l'écrivait Victor Hugo.
Depuis dix-huit mois, vous avez considérablement aggravé la fracture territoriale en donnant les clés de la France à la technostructure, …