Permettez-moi d'abord d'avoir une pensée pour les familles des victimes de la terrible attaque de Strasbourg ainsi que pour les forces de l'ordre qui, à l'heure actuelle, risquent leur peau pour mettre hors d'état de nuire ce barbare. À juste raison, nos compatriotes ne comprennent pas comme un individu condamné vingt-sept fois à 29 ans, recherché pour tentative d'homicide, s'étant livré à du prosélytisme en prison, « archi-fiché », pouvait être en liberté ce soir-là.