Si, vous l'avez dit. Ne plus avoir confiance en l'administration de l'État pour donner les chiffres pose un problème de fond. La mobilisation des lycéens ne doit pas se faire sur la base de rumeurs ; il est de notre responsabilité collective de ne pas les colporter et de rester factuels. Cela dit, les lycéens ont évidemment le droit de se mobiliser.