Au risque de me répéter, je rappelle que je partage votre sentiment, mais vous avez compris les délais auxquels nous sommes contraints en ce début de législature, qui sont liés aux élections qui viennent de se tenir. Il n'y a pas de solution miracle. Ce texte, encore une fois, n'est en outre qu'une transition vers le projet de loi plus important que nous examinerons cet automne, et pour lequel nous aurons tout le temps d'organiser des auditions.
Je vous remercie. Nous nous retrouverons demain matin, à 10 heures.