Moi, j'aimerais que l'Europe ait le courage d'assumer des décisions fiscales courageuses. Quatre États restent encore à convaincre. J'ose espérer que, d'ici au mois de mars, avec mon collègue allemand Olaf Scholz, nous réussirons à convaincre nos partenaires européens d'adopter à l'unanimité une juste taxation des géants du numérique.