J'aimerais répondre à nouveau aux orateurs, notamment à M. de Courson et à Mme Rabault.
Madame Rabault, la sincérité des documents, dont atteste le rapporteur général, est évidente : le déficit public ne sera pas aggravé, à moins que l'Assemblée nationale et le Sénat ne se mettent d'accord pour cela – ce n'est pas, en tout cas, la volonté du Gouvernement ni de la majorité ; il sera donc bien de 3,2 % du fait des annonces du Président de la République.