Cela permet de répondre à M. Coquerel, qui se demandait tout à l'heure pourquoi nous ne discutons pas de ces mesures : c'est simplement parce que nous respectons les règles constitutionnelles.
Par ailleurs, comme je m'y suis engagé, nous aurons, le moment venu, un débat sur la fiscalité du capital, y compris l'ISF.
Ce que j'entends me consterne également parce qu'à force de poser les mauvais problèmes, il ne faut pas s'étonner de proposer les mauvaises solutions aux problèmes du pays.
Nous sommes tous ici attachés à la lutte contre les inégalités.