Parce que, comme vous, je ne veux pas que les relations entre l'État, l'Europe, les collectivités et les professionnels se résument à des questions de curseurs dans l'attribution de ces aides, je veux vous parler de la méthode et du calendrier dans lequel nous souhaitons inscrire notre action.
La méthode, c'est celle des États généraux de l'alimentation. À la question qui figure dans l'introduction de votre rapport – l'agriculture française sera-t-elle laissée pour compte des politiques publiques ? – , je réponds clairement non.