Je comprends la détresse des éleveurs et des agriculteurs, et mon rôle est de les protéger. Mais « zéro attaque », cela ne signifie pas « zéro loup », car nous avons aussi l'ambition de protéger la biodiversité. Il faut que les éleveurs puissent vivre de leur travail et que leurs troupeaux puissent pâturer en paix. Je crois en effet aux vertus de l'agropastoralisme pour l'entretien de nos paysages.