Monsieur le Premier ministre, il y a huit jours, le Président de la République annonçait certaines mesures, après s'être confondu en regrets et en excuses pour les importantes blessures occasionnées par son comportement depuis dix-huit mois. À vous maintenant, monsieur le Premier ministre, avec les membres de votre Gouvernement, d'évoluer vers davantage d'humilité, d'écoute et de recoudre ces plaies que vous avez ouvertes depuis dix-huit mois.
Allez-vous réduire la fracture territoriale…