La blockchain est souvent présentée comme un remède miracle à tous les maux de la planète, comme s'il suffisait d'inventer une application à chaque fois que se pose un nouveau problème… Cela doit nous conduire à nous demander où est la place de l'intelligence humaine dans un tel système.
Comme l'a dit M. Aubert, si la blockchain peut être sécurisée, encore faut-il être en mesure de certifier l'information entrante, éventuellement au moyen d'un tiers de confiance – par exemple un notaire.
Nous devons également nous demander comment identifier, agréer et certifier les plateformes utilisatrices de la blockchain.
Enfin, il est permis de se demander si le fait de réglementer ou réguler cette nouvelle technologie mondiale n'est pas de nature à freiner son développement.