- C'était passionnant et dit avec beaucoup de conviction et d'engagement personnel, ce qui est en général une condition du succès.
Je voudrais remercier les uns et les autres, non seulement pour la qualité de leurs témoignages, mais surtout pour la qualité du travail réalisé. On sent qu'il y a une évolution qui réconcilie, vous l'avez dit, les - 3 et les + 3, c'est-à-dire la cohésion entre l'enseignement secondaire et le supérieur, question qui n'avait jamais été vraiment correctement traitée depuis plus de cinquante ans.
La seconde satisfaction pour nous qui avons travaillé à l'Office parlementaire sur l'intelligence artificielle, notamment Cédric Villani, est de nous rendre compte que nous pouvions concilier à la fois la gestion des grands effectifs, avec une approche – vous venez d'en témoigner – beaucoup plus humaine des dossiers.