Si c'est difficile, le résultat est en définitive d'obliger notre majorité à accélérer le rythme de ce que nous souhaitons faire, en particulier en matière de baisse de cotisations sociales, de revalorisation des minima sociaux et d'augmentation de la prime d'activité. Il nous faut également aller plus loin et plus vite sur les heures supplémentaires. Toutes ces mesures redonneront du souffle à la consommation, donc à la croissance et, in fine, à la prospérité de notre pays.
Nous aurons l'occasion de le redire dès cet après-midi lors de l'examen du projet de loi portant mesures d'urgence économiques et sociales : nous devons accélérer le rythme de nos réformes pour aller vers une plus grande justice sociale, une plus grande justice fiscale, mais également pour redéfinir une plus grande justice salariale.
Nous le devons, finalement, pour redéfinir notre pacte social et pour réécrire un contrat social et civique qui unisse et rassemble les Français et qui soit établi avec eux, parce que notre France est bien plus belle et bien plus forte quand elle est unie.