Voilà pourquoi, monsieur le président, je suis dans l'obligation de vous dire que, voyant trente-et-une de nos soixante-quatre propositions retoquées – je vous fais grâce de la liste et de ce qu'elle contenait, peut-être vous en régalerai-je tout à l'heure – , nous jugeons cette situation très choquante. Je demande aux parlementaires, quel que soit leur banc, de comprendre que, lorsqu'ils sont astreints à la décision d'une seule personne, ils ne sont plus en situation républicaine.