Je réponds aussi à votre précédente demande : il va de soi que nous sommes absolument prêts à réfléchir avec vous à des modalités pérennes. Mais j'y insiste : si nous avons choisi ce dispositif pour les prochaines élections, c'est pour répondre au plus tôt à l'exigence de dignité que constitue le vote pour les personnes détenues.