J'ajouterai que la loi de programmation militaire prévoit quand même 3,6 milliards d'euros pour le secteur spatial. Rien ne nous empêche, dans ces conditions, d'étudier s'il est possible de flécher certains de ces crédits ers des recherches à risques, comme cela a été préconisé s'agissant du numérique.