Ce texte, qui a même été rejeté par votre majorité au Sénat, continue d'inquiéter jusque dans vos rangs. Chacun peut en effet voir le danger pour notre État de droit, pour notre pays, celui qui a fait du 14 juillet sa fête nationale. Affaiblis par une crise sociale qui vous dépasse, vous ajoutez une pierre à l'arsenal répressif, déjà aggravé par le basculement de dispositions de l'état d'urgence dans le droit commun.
La démocratie, c'est débattre…