Vous avez évoqué, madame, votre parcours et votre implication dans la lutte contre la manipulation de l'information. Vous avez mentionné les études qui montrent que, paradoxalement, les personnes âgées partagent beaucoup plus ces fausses informations, s'en faisant, volontairement ou non, le relais. Votre expérience à l'AFP et votre nomination éventuelle au sein du CSA seront-elles de nature à apporter de nouvelles orientations à la loi récemment adoptée, afin de rendre les personnes âgées moins sensibles à ces informations discutables, et moins promptes à les relayer ?