Je maintiens mon amendement mais propose que nous en discutions d'ici à la séance. En l'état actuel du droit, ce n'est pas la loi qui fixe ces effectifs, que l'on soit à dix ou douze élèves.
Dans l'équation que j'évoquais, on ne serait de toute façon ni à dix, ni à douze élèves, mais plutôt à trente ! Nous devons sécuriser ces unités qui courent un grand danger – le ministre de l'Éducation nationale a d'ailleurs annoncé à demi-mot qu'il faudrait gérer la pénurie de personnels…