Sur cet article, je rappelle que l'ONU a commencé à s'intéresser à la France, puisqu'un prérapport a été remis avant l'été, mettant en cause notre pays en matière de droits et libertés, estimant qu'il ne respecte plus certaines conventions internationales dont il est signataire. On ne peut pas faire la leçon à d'autres pays et aggraver dans le même temps la situation en France. Nous sommes attachés au progrès, non à la régression. Avec de telles dispositions, vous prenez le risque que le rapport soit encore plus sévère à l'égard de la France.