Je vous remercie, monsieur le président.
Quand Aurélien Pradié a présenté voilà quatre mois une proposition dont l'esprit était proche de ce que nous présentons aujourd'hui, elle a été balayée, elle n'existait plus. Ce matin, cela existait à nouveau et depuis cet après-midi, cela n'existe plus.
J'espère que l'attitude que vous avez eue quand ma collègue Laurence Dumont s'est exprimée tout à l'heure à la tribune n'a pas été enregistrée par la vidéo parce qu'elle n'est pas digne de ce qui se nomme « éducation » nationale. Jusque-là, monsieur le ministre, j'avais beaucoup de respect pour vous, croyez-moi, mais c'est absolument inadmissible. Je suis très en colère, et mon groupe aussi.