Je vais essayer d'être rapide car d'autres textes doivent encore être débattus aujourd'hui, ce que je m'efforce aussi de respecter.
Je ne vous demande pas une confiance aveugle, car vous pourrez vérifier à la rentrée prochaine ce qu'il en est.
Je tiens toutefois à manifester une petite pointe d'étonnement face aux oppositions qui s'expriment. Vous avez tout de même soutenu un candidat à l'élection présidentielle qui voulait supprimer 500 000 postes