Le premier porte sur les visites médicales à l'école. À l'heure actuelle, on surveille le poids, l'audition et la vue des enfants, qui sont très importants. Cet amendement vise à appuyer cette démarche en surveillant les troubles dits « dys », dont on sait très bien que plus tôt ils sont pris, plus la scolarité de l'enfant s'en trouve simplifiée.
Le second amendement vise, par principe, à mettre en place une classe dédiée dans chaque département, même si un seul enfant y souffre de surdité. « Liberté, égalité, fraternité. » Chaque enfant sourd a le droit, comme tous les autres enfants, d'aller à l'école. Nous demandons donc une expérimentation afin qu'un accès à l'école soit prévu dans tous les départements pour les enfants souffrant de surdité.