J'ai le même avis que Mme la rapporteure.
Madame la députée Boyer, trop peu d'actions ont été engagées. Ce n'est pas une figure de style – je ne connais pas le chiffre – , mais une réponse politique consistant à vous indiquer que j'ai demandé aux préfets, qui sont, à l'image de la préfecture de police, les premières interfaces avec les victimes, comme les commerçants, pour engager les procédures de remboursement avec les assurances et celles de mise en responsabilité, d'être vigilants sur ce sujet pour se donner les moyens, après les sanctions pénales qui permettent d'identifier clairement les personnes comme pour le saccage de l'Arc de triomphe, de mettre en oeuvre, avant même l'adoption de ce texte et dans toute la mesure du possible, le principe du casseur-payeur.