Bien entendu, nous nous saisissons des outils mis à la disposition de l'Assemblée nationale et des parlementaires, afin de faire notre travail et de faire en sorte que le Gouvernement explique et justifie telle ou telle mesure.
Il n'y a là aucune contradiction avec nos amendements. L'un n'empêche pas l'autre. En l'espèce, nous demandons un rapport précis, selon des termes très précis.
Madame la rapporteure, vous avez évoqué le Défenseur des droits. Il a sonné l'alerte au sujet de l'usage des outils de maintien de l'ordre que nous visons, notamment le gaz lacrymogène. Vous savez qu'il est nécessaire d'étudier le sujet plus en détail.
Nous avons mené une recherche. À l'heure actuelle, il n'existe aucun rapport clair et exhaustif sur les effets physiques et psychiques de l'usage de telles armes.