Nous devrions prendre l'initiative d'une telle étude, afin d'éviter la diffusion de fausses informations et de rumeurs. Si nous menons ce travail, nous saurons avec certitude quelles armes sont employées et pourquoi. Nous pourrons alors réexaminer la doctrine de maintien de l'ordre en vigueur.
Monsieur le ministre, on ne peut affirmer que c'est tout ou rien. Il existe un panel de doctrines d'intervention que vous choisissez de ne pas aborder. Nous avons tâché de vous en convaincre.