Nous devrions travailler à la désescalade, et pourtant la France n'a pas pris part aux travaux du projet GODIAC – Good practice for dialogue and communication as strategic principles for policing political manifestations in Europe – qui se sont déroulés de 2010 à 2013. Est-ce bien votre objectif ? Pouvez-vous au moins faire avec nous le constat que ce nombre de blessés n'est pas tolérable et qu'il faut organiser la désescalade ?
Vous qui êtes un ancien préfet, vous qui avez dirigé la DGSI – direction générale de la sécurité intérieure – et qui connaissez bien le terrain, monsieur le secrétaire d'État, vous savez comment on fait pour identifier les casseurs, les débusquer, les appréhender : pourquoi ne vous attelez-vous pas à cette tâche, plutôt que de taper dans le tas ?