Dans ces conditions, monsieur le Premier ministre, que devons-nous penser de l'issue du grand débat national ? Comment avoir confiance ? Vous dites vouloir écouter la parole des citoyens, mais vous n'écoutez pas celle des parlementaires alors que nous portons ici la voix de ceux qui travaillent, de ceux qui souffrent et de ceux qui se sentent abandonnés.