Nous avons fait le choix de taxer massivement le capital, et nous en subissons les conséquences : nos entreprises de taille intermédiaire sont aujourd'hui en nombre insuffisant, notre tissu industriel est faible, nos emplois industriels ont disparu, et nos usines ont fermé.
Taxation des dividendes à 44 %, des intérêts à 62 %, telle était la réalité de notre fiscalité sur le capital…