Une baisse d'impôts durable ne peut reposer que sur une baisse durable de la dépense publique. Parmi les baisses envisageables, on parle beaucoup des niches fiscales, qui représentent 100 milliards d'euros. Je ne vois aucun obstacle à regarder l'intégralité de ces niches fiscales pour déterminer celles qui sont efficaces et qui doivent être maintenues et celles qui ne le sont pas.
Pour répondre précisément à la remarque de Julien Aubert, je veux redire mon attachement aux services à la personne. Les services à la personne, ça marche.