Si le niveau de destruction de nos milieux est aussi considérable que prévu, si nous ne changeons rien aux dynamiques actuelles, alors les petits calculs d'apothicaire sur le développement économique paraîtront bien risibles. Détruire la forêt amazonienne et critiquer mollement Bolsonaro tout en l'invitant au sommet de Davos : voilà l'aveuglement qui règne aujourd'hui.