Le monde n'est jamais simple. Il n'est pas noir ou blanc, et même ceux qui soutenaient le président Lula n'ont pas prétendu que l'on doive s'inspirer de sa politique agro-environnementale au Brésil.
Quant aux motivations du projet, vous dites qu'elles ne sont que financières. On est certes en présence d'arguments économiques : oui, on parle d'entreprises qui développent une activité, qui gagnent de l'argent de cette manière, et qui font travailler des gens. C'est cela, l'activité économique. Mais selon moi, ce n'est pas parce qu'on développe une activité économique qu'on a tous les droits. Ce n'est pas parce qu'il y a des créations d'emplois qu'on doit tout abdiquer. J'ai démontré depuis le début du débat que je serai, pour ma part, le défenseur de l'exigence environnementale.
Quant à votre question touchant votre ex-directeur de cabinet, j'avoue qu'elle n'est pas de mon ressort.