Cet amendement vise à ajouter le qualificatif de « mutuelle » au terme de « confiance » mentionné dans la première phrase du deuxième alinéa. Cet adjectif permet de souligner que la confiance s'établit dans les deux sens.
L'article 1er énonce des principes qui sont le fondement de la réussite et du bien-être de l'élève au sein de l'école. La confiance doit être mutuelle, ce qui n'empêche en rien l'enseignant de s'exprimer. Certes, la confiance ne se décrète pas mais pourquoi s'interdire d'écrire ce qui est si important ?