Dès lors que l'on est favorable au principe de neutralité, il n'y a pas lieu d'être frileux à l'idée de le renforcer, car il y va du cerveau de jeunes enfants : comme l'a dit Mme Rubin, ce n'est pas par philanthropie ni par charité que les grandes marques interviennent au sein des établissements scolaires. L'opérateur Orange se vante parfois que 40 % des enfants de 7 ans connaissent sa marque et son logo. Face à ce vrai sujet de préoccupation, il faut des garanties encore plus fortes.