De même que le précédent, il tend à compléter mais surtout à enrichir les dispositions du code de l'éducation, en y faisant figurer expressément la culture de la France dite « d'outre-mer » et à lutter ainsi contre son invisibilité. L'enjeu est majeur : nos cultures ne relèvent pas exclusivement de la spécificité, mais ont – et doivent avoir – l'ambition d'appartenir aussi à l'universalité. Il y va de l'éducation de l'ensemble des petits Français, afin que, dans quelques années, on n'entende plus des interventions comme celle de M. Ciotti, marquée du sceau de l'ignorance.