Nous ne changeons évidemment pas d'avis sur le fond, mais je dois reconnaître que nous sommes assez convaincus par vos arguments, monsieur Nilor – vous voyez que nous sommes très à l'écoute. Il ne faudrait pas que l'expression utilisée suscite un malentendu. Peut-être faudrait-il, d'ailleurs, trouver une troisième idée pour parvenir à une expression encore meilleure. J'avoue mon embarras à la suite de votre intervention. Peut-être pourra-t-on imaginer une rédaction encore meilleure lors de l'examen du texte au Sénat ? En tout cas, nous gardons le principe, à ce stade, et j'inverse les avis, favorable et défavorable, que j'avais donnés sur les deux amendements.