J'avais cru comprendre que le candidat Emmanuel Macron avait pris des engagements en matière d'imposition des heures supplémentaires ; j'espère qu'ils seront respectés.
Avant 2013, les avantages en question bénéficiaient au monde ouvrier, catégorie que l'on oublie trop souvent dans notre pays – je pense en particulier à ceux qui travaillent à la chaîne ou dans les transports. La disparition du dispositif a causé à ces contribuables un préjudice considérable, correspondant souvent à la perte d'un treizième mois de salaire. Il est temps que les heures supplémentaires ne soient plus sujettes à l'impôt ou qu'elles ne soient plus imposées dans les mêmes proportions.