Voilà deux ans que les opérateurs peuvent s'y préparer ; le moment est venu de leur mettre l'épée dans les reins. Il y va de la transparence. L'argument du pseudonyme et d'autres ont déjà été échangés en 2016, mais il est temps de passer à l'acte. Dans le monde numérique, on n'obtient pas de résultat sans forcer la porte.