L'éducation nationale doit répondre aux besoins des élèves en difficulté scolaire durable, particulièrement de ceux atteints de troubles « dys » qui touchent entre 6 et 8 % de la population. L'amendement tend à préciser que l'acquisition du socle commun est progressive pour permettre aux élèves qui éprouvent des difficultés de recevoir des aides et de bénéficier de dispositifs adaptés.