Dans le droit fil de ceux défendus par mes collègues, cet amendement, à l'initiative d'Émilie Bonnivard, souligne le caractère progressif de l'acquisition du socle commun.
Nous souhaitons que les difficultés d'apprentissage de certains enfants, particulièrement ceux qui sont atteints d'un trouble « dys », soient véritablement prises en considération. Il faut le graver dans le marbre de la loi.