Cela n'interdit aucunement aux parents résidant dans le village X de mettre leurs enfants dans l'école du village Y, ainsi qu'il ressort des propos du Premier ministre, mais nous en revenons toujours à la distinction entre possibilité et obligation : nous en avons déjà parlé pour l'élève et le professeur, c'est vrai aussi pour les collectivités locales. Nous devons ouvrir le champ à des politiques volontaristes sans mettre certains dans des situations d'obligation dont nous déplorerions ensuite les effets pervers.
Je comprends bien votre intention, et je la partage. Un soutien sera accordé ces politiques publiques, dans la ligne de ce qu'ont affirmé le Président de la République et le Premier ministre. Cependant, parce que nous devons être attentifs aux enjeux d'équilibre, mon avis sur l'amendement est défavorable.