Il m'a pourtant semblé avoir entendu, hier, des choses qui ne vont pas exactement dans ce sens. En tout cas, elles n'allaient pas moins loin que ce que je dis moi-même, s'agissant de la vigilance que nous devons garder sur le principe d'égalité, sur les principes républicains en général et sur la solidité de la langue française. Sur ce sujet comme sur d'autres, chacun doit prendre ses responsabilités.
Au moment où le Premier ministre s'est exprimé comme il l'a fait, ce qui représente un pas en avant, au moment où la réforme du baccalauréat offre un contexte favorable – je ne répète pas tout ce que j'ai expliqué sur ces sujets, qui ne se résume pas à ce que vous en avez dit tout à l'heure – , ne caricaturons pas les positions : soyons attentifs à tous ces signes d'ouverture, qui vont continuer de se manifester, au rythme que j'ai indiqué.
Avis défavorable.