Je ne voudrais pas que qui que ce soit se sente oublié ou méprisé, mais nous avons déjà beaucoup parlé ; et cette question n'est, vous le savez, pas au coeur de la loi.
Il se trouve que j'ai souvent participé à ces discussions annuelles avec la Corse, discussions très spécifiques dont le bilan est, je crois, assez satisfaisant. Une série de contraintes s'imposent, en particulier celle de l'annualité budgétaire.
La tenue d'une discussion annuelle n'empêche en rien l'établissement d'une stratégie pluriannuelle. La rectrice de Corse peut ouvrir ce dialogue stratégique avec la collectivité. J'y suis tout à fait favorable, sans qu'il soit besoin de l'inscrire dans la loi.