Il est vrai que le ministère des finances a tendance à changer les règles chaque année. En l'occurrence, les chaudières sont soumises à une nouvelle règle. Autrement dit, les artisans se conforment aux exigences fixées par Bercy mais, l'année suivante, doivent recommencer. C'est à croire que Bercy cherche à gagner quelques mois de moindre utilisation du crédit d'impôt...
Je souhaite donc à mon tour qu'une fois les règles convenues, elles ne soient plus modifiées et que le projet de loi de finances ne comporte pas de mesure consistant à supprimer les chaudières à fioul ou autres du champ de la mesure.