Vous avez raison, monsieur le président, de rappeler qu'au-delà de la direction que nous aurions à prendre, il y a des gens. Vous avez raison, mes chers collègues, de rappeler qu'il y a la vraie vie des gens. Mais la vraie vie, c'est aussi les 40 000 morts par an en raison de la pollution de l'air – aussi, je dirai qu'il ne s'agit pas seulement de prendre en compte la vraie vie des gens, mais la vraie mort des gens.