Sur le backstop, la réflexion a, vous avez raison, été entamée il y a plus d'un an, et je ne peux vous donner de solution miracle aujourd'hui. Mais des solutions techniques sont toujours à l'étude, et cette réflexion doit être approfondie. La Première ministre doit s'entretenir sur ce sujet avec le Président Donald Tusk. Si l'on prend un peu de recul, il est évident que le sujet est très complexe, mais nous partageons néanmoins des priorités communes : d'abord, la sauvegarde des Accords du Vendredi saint, à la réussite desquels l'Union a beaucoup contribué. L'acquis de la paix de ces vingt dernières années est très précieux. Nous comprenons l'importance de maintenir l'intégrité du marché unique et de l'union douanière, mais nous espérons également que nos partenaires comprennent l'importance pour notre pays de sauvegarder son intégrité territoriale. Nous devons parvenir à joindre la défense de ces intérêts partagés.