Quand je me suis exprimé tout à l'heure, je n'ai pas plaidé pour qu'il y ait une taxe nationale qui troublerait les conditions de concurrence et entraînerait des problèmes dans le transport aérien international. Il faut soutenir une taxe internationale, qui alimenterait des actions internationales, dans le domaine du réchauffement climatique par exemple. Nous avions fait la taxe « Chirac » sur les billets, qui ne fonctionne d'ailleurs pas bien. J'invite celles et ceux qui nous écoutent et qui ont les responsabilités nécessaires à discuter internationalement pour la création d'une taxation sur le kérosène, qui servirait à des fins multilatérales.