Peut-être pourrions-nous avoir davantage d'explications, car les faits dont fait mention Mme Racon-Bouzon existent bel et bien. Ces relations de pression existent. Même si je pense qu'insérer cette phrase dans la loi n'y changera pas grand-chose, il faudra être en mesure de constater ces cas de pressions quand ils surviendront. On ne peut se contenter de nous répondre que cela n'a pas lieu d'être. Le risque est réel, particulièrement dans les établissements situés dans des zones où des expatriés viendront s'installer, comme à Lille et aux portes de La Défense. Cela mériterait de prendre le temps d'une réponse.