Si la majeure partie des réflexions autour de l'orientation d'un élève trouve une solution dans le consensus, une grande violence peut résulter d'une orientation dans un secteur non choisi. On court notamment le risque d'une multiplication des cas de décrochage scolaire. L'orientation ne peut être gérée avec rigidité, alors qu'elle ne représente actuellement pas un problème majeur. C'est la raison pour laquelle nous proposons de supprimer la fin de la seconde phrase de l'alinéa 7.